Albert G. Nigrin, directeur du festival international du New Jersey (USA)
Un film-poème sur la ville et la nuit.
Sonia Médina, distributrice
Un jaillissement dans le paysage tristounet des sorties-salle
quisonne comme un coup de tonnerre.
Vincent Dieutre, cinéaste
Une lecture sensible et sensuelle de l'urbain .
Catherine Espinasse, psycho-sociologue et écrivain
La réinvention douloureuse de la complexité du monde, la cartographie ouverte
des embranchements, des bifurcations, des connexions qu’elle recèle.
Jean-Michel Frodon, critique de cinéma
Touchant, vibrant et âpre. un film qui ne s'oublie pas.
Florence Colombani, critique de cinéma et écrivain
Un des plus beaux films jamais réalisés sur la solitude urbaine. Poignant.
Une matière labile, fluide, glisse entre les doigts à l'instar de la vie elle-même.
Jean-Baptiste Chantoiseau, critique d'art et écrivain
Un feu d'artifice d'images plus intenses les unes que les autres.
Yves Citton, philosophe et professeur de littérature française
On sent une ville qui respire, elle vit, elle souffle, c'est un être vivant.
Jean-François Cavro, portraitiste sonores des villes
La ville au cinéma est rarement interpellée de cette manière.
Thierry Paquot, philosophe
Le Vertige des possibles
un film de Vivianne Perelmuter - Belgique, France - int. Christine Dory, François Barat, Vincent Dieutre. - 1h48
Anne est payée pour écrire des histoires mais elle n’y arrive plus. Pas du tout l’angoisse de la page blanche, tout le contraire. Et dans la vie c’est pareil. Anne n’arrive pas à choisir. Mais ce jour-là ,et toute une nuit, entraînée bien malgré elle dans une errance à travers la ville, elle devra bien apprendre à s’orienter dans ce labyrinthe. Avant que le jour ne se lève, elle devra agir.
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